Séquestration du carbone
Les espaces végétalisés conçus dans le cadre du projet de paysage contribuent à la séquestration du carbone atmosphérique.
Les arbres et les plantes absorbent le dioxyde de carbone (CO2) de l’atmosphère lors de la photosynthèse, aidant ainsi à réduire les niveaux de CO2 dans l’air et à atténuer le réchauffement climatique.
Régulation thermique
Les espaces végétalisés, tels que les parcs urbains et les arbres plantés le long des rues, jouent un rôle majeur dans la régulation thermique des zones urbaines.
Ils fournissent de l’ombre et de la fraîcheur grâce à l’évapotranspiration des plantes, réduisant ainsi l’effet d’îlot de chaleur urbain et contribuant à abaisser les températures locales.
Gestion des eaux pluviales
Les aménagements paysagers peuvent être conçus pour absorber et filtrer les eaux de pluie, réduisant ainsi les risques d’inondation et contribuant à la recharge des nappes phréatiques.
Des pratiques telles que :
- la création de zones humides,
- de jardins de pluie
- et de toits végétalisés
permettent de ralentir le ruissellement des eaux de pluie et de favoriser leur infiltration dans le sol.
Conservation de la biodiversité
Les projets de paysage que nous concevons favorisent la biodiversité en offrant des habitats et renforcent les corridors écologiques pour la faune et la flore urbaines.
La préservation et la restauration des écosystèmes locaux contribuent à maintenir la diversité biologique, renforçant ainsi la résilience des écosystèmes face aux effets du changement climatique.
Réduction de l’empreinte carbone
En favorisant la marche, le vélo et les transports en commun, les aménagements paysagers que nous concevons encouragent les modes de déplacement à faible émission de carbone.
De plus, la réduction de la dépendance aux véhicules motorisés contribue à limiter les émissions de gaz à effet de serre et à atténuer le changement climatique.